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*Sigh* *Facepalm* ➸ Mon grand loup des steppes.
Lyes Assaf
Lyes Assaf
• Habitant de Seattle
✗ MIROIR : Magda la chieuse.
✗ CÉLÉBRITÉ : Rilès
✗ MESSAGES : 104
✗ PHOTO D'IDENTITÉ : *Sigh* *Facepalm* ➸ Mon grand loup des steppes. Giphy
✗ ÂGE : 30
✗ WORK : Ecrivain raté qui bosse en tant que surveillant de lycée.
✗ ETAT CIVIL : En couple avec son alcoolisme
✗ ORIENTATION SEXUELLE : Lyes, il aime le monde entier.
✗ LOVE OF MY LIFE : *Sigh* *Facepalm* ➸ Mon grand loup des steppes. Giphy
*Sigh* *Facepalm*
@Marion Marshall & Lyes Assaf

Lyes, c'était un gars qui par moment pouvait vraiment paraître pompeux. Surtout quand ça concernait la culture. Comme le disait l'expression "La culture, c'est comme la confiture. Plus on en a. Plus on l'étale." Et Lyes, il en avait beaucoup de culture. Il n'hésitait pas à le faire savoir. Lyes, il adorait bouquiner et regarder des films. Mais surtout des vieux films. Il allait rarement voir les derniers blockbuster à la mode. Il préférait les cinémas tout délabrés qui passaient des films en noir et blanc. Il n'avait jamais vu aucun film de super héros et s'en portait très bien ! Seulement, s'il s'arrêtait là, ça serait bien. Mais Lyes, il aimait critiquer tout ce qu'il ne connaissait pas. Alors, il se permettait de râler sur des films qu'il n'avait jamais et de détester ce que tout le monde aimait. Lyes, il était un des rares à ne pas avoir Netflix. Il clamait haut et fort que cette plateforme était le début de la fin.  Il se faisait chambrer tous les jours pour ça, mais il s'en fichait. La seule chose qu'il regrettait un peu était de ne pas pouvoir inviter des gens pour Netflix and Chill.

Sauf que, comme tout le monde, Lyes avait des plaisirs coupables. Des choses qu'il n'avouerait jamais, même sous la torture. Il n'y avait qu'une petite poignée de privilégiés qui était au courant de ses préférences. Marion en faisait parti... En même temps, il était celui qui l'avait converti à une horreur nommé Riverdale. Cette série c'était... Un sentiment impossible à décrire. Lyes trouvait le scénario plat, les acteurs mauvais et il râlait à chacun des épisodes et pourtant, il attendait à chaque fois les nouveaux avec impatiences Il n'aimait pas cette série. Pas du tout. Mais il adorait passer des épisodes entiers à la critiquer. C'était devenu son rendez-vous hebdomadaire. Petite habitude qu'il avait prit avec Marion. Ensemble, ils se donnaient rendez-vous pour se poser devant un écran et passer 52 minutes à ne faire que râler, un bon verre de whisky à la main.

D'ailleurs, aujourd'hui, Lyes devait retrouver son ami pour un de ces fameux rendez-vous. Il avait emporté avec lui une bouteille de whisky, Colette sous le bras et il se rendit chez Marion. Bien entendu, dans le métro, il eut le droit à des regards de la part des passants. Croiser un homme se promenant avec une poule et une bouteille d'alcool, c'était une drôle de situation. Lyes avait l'habitude, ne se souciait pas de cela et continuait d'avancer gaiement.

Il finit par débarquer chez son ami et poussa la porte, sans frapper auparavant. De toute manière, Marion l'attendait et même s'il était occupé, Lyes s'en foutait un peu de le déranger. "Gros ! J'suis là ! Sors les verres !" hurla-t-il. Des aboiements se firent entendre et la mocheté qui servait de chien à Marion arriva. Colette commença à s'agiter dans ses bras, apeurée par l'animal. "Les gars, vous vous connaissez depuis longtemps maintenant. Il faut que vous arrêtez de vous engueuler quand vous voyez !"

(c) nightgaunt
Dim 4 Oct - 10:59
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Invité
Anonymous
Invité


Saucisson, pop corn salé, bières tout juste sorties du réfrigérateur, verres old fashioned en faux-cristal bon marché. Les ingrédients principaux étaient ainsi réunis, offerts sur l’autel de la débandade - c’était dire la table basse. Marion attrapa la manette de la PlayStation et, d’un tour de doigt expert, prépara le divertissement de la soirée. Il reposa précautionneusement la précieuse télécommande, craignant qu’un mouvement trop brusque ne lance les hostilités sans que son éternel comparse de décadence visuelle ne soit arrivé. Certaines traditions ne devaient être dérangées, et celle de l'habituel épisode de Riverdale, tous les jeudis soirs, en faisait partie.

Chaque homme avait ses petits secrets, plaisirs coupables et autres cadavres dans le placard. Julia Roberts en était un, la série adolescente particulièrement ridicule de Netflix un autre. Et Marion le cachait bien, quoi qu’il ne pouvait jamais réprimer un sourire lorsqu’il surprenait des gamines à évoquer leurs héros bancaux favoris dans la rue.

La porte d’entrée claqua, la voix de Lyes résonna, et la carpette qui servait de cabot au proxénète effectua un dérapage mal contrôlé pour se précipiter au rez-de-chaussée en beuglant tout son saoul. Marion, dans le même temps, se leva du sofa pour se diriger à pas feutrés dans un coin de la pièce, sautillant sur la pointe de pieds comme un Grinch préparant un mauvais coup.  

Le nez aquilin de Lyes se profila finalement à l’horizon. Caleçon fraîchement chauffé sur le radiateur pour le confort des roubignoles, chemise écru, chaussettes blanches remontées à mi-mollet, le squelette s’élança de dos dans le salon pour se laisser glisser sur le parquet et accueillir en bonne et due forme son invité, façon Risky Business. Bien que cinéphile de pacotille, conchieur de temps modernes, pourfendeur de sagas mythiques - véritable petit con, en définitive -, Lyes aurait cette référence-là. À n’en point douter. Il se verrait congédier dans le cas contraire.

Le vent de la chance décida pourtant d’aller souffler ailleurs. Le proxénète, malgré son élan, ne fit pas trente centimètres. Les vieilles lattes de bois qui ornaient le sol avaient déjà trop vécu. Les nombreuses bières renversées, talons claqués, pieds traînés, genoux esquintés, avaient considérablement amoindri le potentiel de glisse. Le coton rêche des chaussettes du proxénète se prit dans les nervures de chêne, et il s’empêtra les pattes dans sa propre connerie, manquant se casser la gueule d’entrée de jeu. S’il avait eu en tête de courtiser le Marocain, tout espoir aurait été réduit à néant.
Se rattrapant de justesse au dossier du canapé, le tatoué improvisa une pose conquérante particulièrement délicieuse pour s’éviter tout nouvel embarras : jambes écartées, genoux fléchis, mains sur les hanches, sourire ravageur. Ils n’étaient plus à ça près.

« Bonsoir bel inconnu, claqua-t-il d’une voix de crooner. »

Un bruissement de plumes se fit entendre, et Colette grimpa l’escalier à son tour, battant des ailes comme un poulet devant la cuisine d’un KFC pour s’éloigner le plus vite possible du Sac à Puces qui la coursait en tirant la langue, hagard.

Marion attrapa son clébard à la volée lorsqu’il passa entre ses chevilles, le coinçant entre son flanc et son coude tel le sac de patates qu’il faisait. Le bestiau se débattit un instant avant de capituler, plus par fainéantise que parce que ses forces l’abandonnaient. Le trentenaire, après tout, ne serrait pas tant que cela.

Le temps de répit accordé à la gallinacée ne dura pas trente secondes. Déjà le chien, lancé par son propriétaire, faisait un petit vol jusqu’au canapé. Rebondissant entre les coussins, il s’ébroua pour reconnecter les deux neurones qui se battaient en duel derrière son nez aplati et repartit derechef courser sa poulette favorite.

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Dim 18 Oct - 14:48
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Lyes Assaf
Lyes Assaf
• Habitant de Seattle
✗ MIROIR : Magda la chieuse.
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*Sigh* *Facepalm*
@Marion Marshall & Lyes Assaf

Lyes essayait d'ignorer Colette qui caquetait et le Sac à Puce qui aboyait à en réveiller un mort. Le jeune homme ne se souvenait plus si Marion était en bon terme avec ses voisins, mais les bruits que faisait ce semblant de basse cour n'allait pas aider les choses. Lyes décida de ne pas en prendre compte, se demandant où son ami se cachait. Il était étonné de ne pas déjà le trouver avec un verre à la main. Mais finalement, l'accueil que lui réservait le tatoué était bien plus beau que ce qu'il avait espéré. Lyes observa la scène que lui offrait Marion, un sourire en coin sur le visage avant de s'esclaffer de rire. "Cet accueil, rien que pour moi ? Quel chance j'ai !" dit-il, un sourire toujours accroché sur son visage. Avec Marion, Lyes ne savait jamais à quoi s'attendre et c'était peut-être une des raisons pour laquelle ils s'appréciaient autant. Ils étaient capables de supporter les conneries de l'un et l'autre et pour en faire, c'était des professionnels.

Lyes lâcha Colette qui s'enfuit dans un coin du loft, tandis qu'il se lançait tomber aux côtés de Marion sur le canapé. "Comment va mon grand loup des steppes ?" Il ne savait plus comment ce surnom était arrivé. Lyes avait l'impression qu'il avait toujours été là, comme la seconde identité du tatoué. Toujours était-il que ce surnom était ancré dans leur routine maintenant.

Lyes sortit la bouteille de whisky qu'il avait caché dans la poche intérieur de son manteau avant de la poser avec un bruit sourd sur la table basse. Il parcouru du regard ce que son ami avait préparé. Bières. Bien. Pop corn. Super. Puis, Lyes vit le saucisson posé sur la table et sa bouche forma un "O" avant qu'il ne s’exclame. "GROS ! C'est quoi ça ? Tu sais très bien que je ne mange pas de porc." Suite à quoi, il fit une petite moue. "Ô rage, ô désespoir ! Serait-ce du sauciflard ?" Il prit une pose dramatique, une main sur le cœur et l'autre sur le front, à peu de choses près, il ressemblait à la statue de Caïn aux Tuileries.

Mais Lyes n'était pas du genre rancunier et quelques minutes après, il ouvrit la bouteille de whisky avant d'en servir deux verres. "Je l'ai chourré à mon daron. Normalement c'est du bon ! Tu me diras ce que tu en penses !" Il avait vu ses parents la veille. Même si sa mère c'était encore montrée adorable, son père en avait profité pour rappeler à son fils à quel point il était une déception pour lui. Lyes s'était contenté de le laisser cracher sa haine, essayant d'ignorer ses propos. La seule vengeance qu'il avait trouvé, mature selon lui, était de piquer une bouteille dans la cave de son père. De toute manière, il avait plus d'une centaine de bouteille, c'était pas une de plus ou de moins qui allait changer les choses.
(c) nightgaunt
Dim 18 Oct - 20:50
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Invité
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Invité


La mort-vivant ne tarda pas à prendre le même chemin que son chien. Il se laissa tomber sur le canapé dans un soupir éreinté et écarta les jambes en un manspreading si intense qu’il aurait certainement fait se hisser les poils d’aisselles des plus grandes féministes contemporaines si elles avaient pu le voir.

« Comment va mon grand loup des steppes, interrogea Lyes en le rejoignant à son tour.
- Comme un coq en pâte, et toi ma petite Paupiette de veau, rétorqua-t-il la bouche en cœur. »

Dans l’escalade rocambolesque de surnoms ridicules qu’ils se donnaient, le Marocain s’était arrêté sur ce pseudonyme pour le moins plaisant qui lui allait comme un gant. De son côté, Marion cherchait encore la preuve d’amour idéale. Lyes se verrait affublé de tout un tas de petits noms plus kitsch les uns que les autres tant qu’il n’aurait pas trouvé la perle rare. Sa quête du Graal personnelle, en quelque sorte.

Les yeux du trentenaire se posèrent avec envie sur l’offrande en robe dorée que son invité posa sur la table basse. Il papillonna des cils, approchant doucement les mains du précieux trésor, quand la voix de son interlocuteur emplit subitement la pièce, manquant lui décoller les tympans.

« GROS ! C’est quoi ça ? Tu sais très bien que je ne mange pas de porc. Ô rage, ô désespoir ! Serait-ce du sauciflard ?
- Ouais, ouais, ô vieillesse ennemie, n’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie … On connaît la chanson. »

Et il ne plaisantait qu’à moitié. La taule lui avait offert tout le temps nécessaire à parfaire sa culture littéraire. Il s’était acharné à apprendre certains passages de grands classiques. Le monologue de Don Diègue, dont quatre-vingt-quinze pourcent de la population ne connaissait que les sept premiers mots, Marion aurait été foutu de le recracher dans son intégralité si on le lançait.

« Râle pas, c’est du saucisson halal ! »

Le mort-vivant porta un regard en coin désabusé à son frère de vilipendages qui la jouait grande diva dramatique. Il se retint d’applaudir à deux mains et, en lieu et place, se contenta d’attraper un morceau de cochon qu’il goba avidement. Moins pour Lyes, plus pour son estomac. Il avait l’impression de gagner sur tous les tableaux et s’en satisfaisait grandement. Les petites victoires du quotidien devaient se savourer pleinement. Marion l’avait compris assez tôt ; il pratiquait cette philosophie de vie à fond, depuis.

« Je l’ai chourré à mon daron. Normalement c’est du bon ! Tu me diras ce que tu en penses ! »

L’intéressé opina du chef, se faisant la réflexion puérile qu’il aimerait bien du père du basané comme géniteur pour pouvoir lui ravir les autres bouteilles qu’il devait avoir en stock. Il n’avait pas eu la chance, gamin, encore moins adolescent, de pouvoir voler dans la cave personnelle de ses parents. Tout au plus, on lui avait laissé libre-accès à l’eau de javel pour qu’il puisse s’empoisonner avec.

« Je t’en ferai une critique digne du type aigri et crochu de Ratatouille, ça te va ? »

Marion se pencha finalement sur la table pour récupérer la manette de la Playstation. Il prit une grande inspiration et beugla suffisamment fort pour faire sursauter la poulette qui, à peine calmée, repartit dans une envolée de plumes, le Sac à Puces sur ses talons :

« DUDE ! Il écarta un bras pour l’abattre sur le torse du jeune homme. Ouh, on fait de l’exercice, mhm ? Il se ressaisit en secouant la tête. DUDE. Est-ce que tu es prêt …? »

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Dim 6 Déc - 19:06
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@Marion Marshall & Lyes Assaf

Ils étaient confortables les canapés de Marion. C'est bien pour cette raison que Lyes aimait bien venait squatter chez son ami... Mais aussi parce que Lyes chez lui n'avait pas Netflix. C'est à peine s'il avait une télé convenable... Il avait plutôt un écran datant de Mathusalem qui grésillait à la moindre tempête. Quant à ses canapés... C'était juste des coussins posés sur des bancs en bois... C'était ça de vivre dans un voilier. "Ça va, hamdoulah !" répondit Lyes. De toute manière, Lyes, il était pas compliqué, pour lui, ça allait toujours bien. Il avait un sourire éternel sur le visage.

Le maghrébin jeta un regard en coin à son ami quand ce dernier lui dit que c'était du saucisson halal. "M'prends pas pour un con, j'suis sûr que c'est du halouf." dit-il en croisant les bras et avec une petite moue mécontente. Bon tant pis, il ne mangerait pas de ça et il se vengerait sur le pop corn. Il passerait presque pour un vegan. Mais après tout, la plus grande majorité de son alimentation était constitué de whisky et de bière, c'était presque éco-responsable ça ! Du moins, c'est ce que Lyes essayait de se convaincre. Tout était bon pour se donner une bonne conscience. La bouteille posée sur la table et dévissée, le liquide dans les verres, Lyes s'en prit une grande gorgée. Son père avait beaucoup de défauts, mais l'une des seules qualités qu'il avait c'était ses goûts en matière de whisky. Mais il voulait aussi avoir l'avis de son ami dessus et le squelette fit référence à un film, assez récent pour perdre Lyes. "Ratatouille, c'est le rat dans pixar ?" Lyes n'avait jamais vu ce film, mais il en avait quand même entendu parlé et il le trouvait vraiment étrange. Il se disait souvent que les réalisateurs des pixars devaient se remplir le nez de poudre blanche pour leurs films... Un rat qui se cache sous la toque d'un gars en lui tirant les cheveux pour qu'il cuisine... Avouez, c'est grave chelou. Il laisserait jamais un rat touché à sa nourriture. Si c'était un rat domestique encore... Mais que nenni ! Rien qu'à cette idée, il réprima un petit frisson.

Enfin ! Le moment tant attendu de la soirée était arrivé ! L'épisode de Riverdale. Lyes avait honte de s'enjailler pour une telle merde, mais fort heureusement, ce petit péché mignon ne dépassait pas des murs du studio de Marion. Il eut un petit rire devant la réflexion de son ami par rapport à l'exercice. "C'est pour toi que je fais ça, beau gosse !" dit-il avant de hausser un sourcil, d'un air aguicheur. "Bon ! On rigole, on rigole, mais on ne voit pas l'fond du bol ! Balance l'épisode !" Il attendait avec hâte d'entendre le fameux tou-doum, qui avait maintenant développer chez les gens, des réflexes tel le chien de Pavlov.


(c) nightgaunt
Lun 7 Déc - 12:38
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